Les vibrations de mon corps s'étendaient dans l'univers. La fusion était générale. L'harmonie était si puissante. L'amour se sentait dans tous les pores de ma chair. L'instant de l'affect était ultime. Peut-être aurais-je dû m'éteindre dans ce moment ? Le néant n'a pas voulu de moi. Je souffre de la marque de ce moment depuis ce temps. L'immensité glaciale traverse mon existence. Un iceberg habite mon ventre qui se déchire. Dans ta présence, dans ton intensité, dans ta peau, dans ton souffle, dans tes cris... j'ai trouvé le comble de la joie. Comment y survivre quand il ne reste plus qu'une absence qui s'éternise ?
je t'aime...
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