À l’occasion des parades syndicales du 1er mai, nous sommes plusieurs à affirmer notre refus de continuer servilement l’enfer d’exploitation dans lequel nous sommes plongéEs.
Que l’horrible histoire du 1er mai, la commémoration des destructions et meurtres commis à tous les jours par le capitalisme et ses organes de gestion, nous rappelle à la nécessité et à l’urgence d’agir contre notre condition générale et nos conditionnements généraux.
Que la grève contre le capitalisme arrive et qu’elle s’affirme en rupture révolutionnaire !
Aucun commentaire:
Publier un commentaire