2008-06-01

cheminement du vivant insurgé

Je me vois dans la ville comme faisant partie de son cancer. Le café, la cigarette... me reconduisent vers son productivisme destructeur, vers l'anxiété civilisationnelle. Je suis de la ville comme anéantissement du vivant passant aussi par mon corps. Béton, asphalte, police... me traversent comme une paralysie, comme une maladie qui me tue comme elle détruit le vivant d'une manière générale.

Déserter la civilisation qui tue... Refaire corps avec le vivant... Entrer en rupture avec l'histoire comme progrès de l'arraisonnement écocidaire... Combattre la domination...

Aucun commentaire: