2008-01-14

des azurs

Au plus sombre de la noirceur de la domination, crucifié dans le temps, sans espoir d'en finir, je vécus mon désespoir jusqu'au suicide, mais je l'évitais de justesse. Je vis le soleil rejaillir dans tout son rayonnement. J'étais de volupté affirmée dans la lutte vers le futur. Malgré les heurts avec le présent de l'exploitation, je vis des azurs d'amour, de création, de liberté.

3 commentaires:

Anonyme a dit...

" je vécus mon désespoir jusqu'au suicide, mais je l'évitais de justesse.."

Merde! Mais pourquoi refuser l'inévitable et ne pas débarasser la surface de la terre de ta carcasse inutile et pathétique? Allez! Un peu de courage que diantre!

Le gnome a dit...
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
Le gnome a dit...

Le courage de lutter et de vivre m'habite puissamment. C'est entre autres la nécessité de se battre contre des gens comme vous remplis de ressentiment, de faiblesse qui se veut force, qui veulent détruire celles et ceux qui se battent pour s'affranchir de la domination générale. Vous avez si peu de courage. Vous n'avez même pas la capacité d'établir une réelle critique avec des arguments. Vous n'avez pas le courage de vous affirmer au-delà de l'anonymat.

''Le fascisme, c'est la gangrène à Santiago comme à Paris'', disait Renaud et ailleurs, ajouterais-je.