2008-01-27

de l'immensité...

Des effusions intarissables, du sang qui coule de volupté, des extases qui n'en finissent plus, des ruptures qui enivrent, des aventures qui se poursuivent, des terres où refleurit, où refleurir... ma chair s'abreuve de ta chair, ta chair de ma chair, la vie de nos chairs... les présences pleines, les plaines qui donnent lieu, les soleils qui déchargent... l'immensité... ça existe de partout et de tout temps...

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Je porte la prolétarisation, ce qui mine, ce qui domine..., en moi comme un état de misère qu'il nous faut dépasser, détruire... Il n'y a rien à y affirmer. Il ne peut y survenir que ruptures. Toute la vie s'écrit du ventre qui veut faire mourir l'aliénation de ses fins, de ses faims... L'histoire nous doit être autre chose. L'autre chose ne s'écrira généralement qu'au moment de l'insurrection générale. Mais d'ici là, nos aspirations affirment ce qui fait la puissance de nos vies qui se désaliènent, qui se libèrent. L'embrasement social n'en sera que puissance. L'embrasement du vivant d'autant plus toute-puissance...

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De la joie devant la mort à une père-version de la culpabilité
par Laurence Croix


''Une bataille philosophique, désespérément lucide et révolutionnaire...'' qui s'explose dans une existence qui va dans l'au-delà exalté d'un non-savoir extasié comme toute-existence qui fait vivre et détruit le je, le nous...

de Bataille à son au-delà, dans le devenir de la création tout comme de la mise à mort...

dans la volupté furieuse du vivant, dans l'anéantissement, dans le vivant du vivant, dans la toute-puissance de la vie/la mort...

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